
Start-up 2013 : efficacité énergétique et confort sont au menu du bâtiment intelligent Cinq start-up françaises : Qivivo (2012), Netatmo (2011), Valentinea (2011), Smart Impulse (2011), Dynsal (2012) ... « Réduire la consommation d’énergie ». Entreprises, administrations, particuliers, tout le monde - ou presque - s’est lancé à la poursuite de cet objectif… qui tourne souvent à l’obsession. Pour y parvenir, plusieurs voies sont exploitables. Il est par exemple possible d’identifier clairement les postes où les économies d’énergie sont envisageables. Ce qui n’est pas forcément d’une évidence limpide dans des bâtiments où les types d’appareils électriques déployés sont multiples, divers et variés : éclairage, équipements informatiques, climatisation, ventilation, etc. On peut également réduire de manière adaptative et automatisée les factures de chauffage à partir d’informations récoltées par un thermostat connecté, de données issues de stations météo et du trafic émanant des smartphones des utilisateurs. Le tout bien évidemment en respectant les exigences de confort des particuliers. A des degrés divers et variés, cinq start-up françaises, dont L’Embarqué a dressé le portrait en 2013, se sont attaquées aux problématiques soulevées par la notion de bâtiment « intelligent » ! - Qivivo. La start-up nantaise a lancé fin 2013 un service auto-adaptatif dénommé Qivivo Thermostat qui pilote à distance et de manière totalement automatisée le chauffage d’un logement résidentiel. Censé réduire les factures de chauffage de 15% par an, le service nécessite la pose chez l’habitant d’un thermostat connecté. - Netatmo. Avec sa station météo personnelle et connectée lancée en 2012, la jeune société a d’abord apporté sa contribution à un problème sérieux de santé publique : la qualité de l’air intérieur. Au cours du second semestre 2013, Netatmo a ajouté à son offre un thermostat contrôlable à distance par smartphone ou tablette. En ce début 2014, la start-up lance un bracelet connecté qui mesure l’exposition au soleil ! - Valentinéa. Conçu pour répondre aux besoins des maisons individuelles neuves et standards, le système tout-en-un Essensys de Valentinéa, une jeune société adepte de la domotique "raisonnée", centralise la quasi-totalité des fonctions automatiques de base d’un système domotique : allumage/extinction de l’éclairage, ouverture/fermeture des volets roulants, détection de fuites d'eau, gestion du chauffage, de l’alarme, de la sécurité, etc. - Smart Impulse. Avec le Smart Analyzer, la jeune société française propose une solution qui permet, à partir d’un seul point de mesure et de façon non intrusive, d’identifier de façon simple et à un coût raisonnable la consommation de chaque type d’appareil dans un bâtiment, et ce quelles qu’en soient les dimensions. Objectif : partir à la chasse des surconsommations ! - Dynsal. Avec son module Bluetooth embarqué personnalisable, la société permet de relier à un smartphone n’importe quel équipement ou appareil d’une habitation. Avec un téléphone mobile, il est alors possible de contrôler à distance un très grand nombre de fonctions sans avoir à tenir compte de la marque ou de l'origine du produit piloté.

Start-up 2013 : efficacité énergétique et confort sont au menu du bâtiment intelligent

Cinq start-up françaises : Qivivo (2012), Netatmo (2011), Valentinea (2011), Smart Impulse (2011), Dynsal (2012) ...

« Réduire la consommation d’énergie ». Entreprises, administrations, particuliers, tout le monde - ou presque - s’est lancé à la poursuite de cet objectif… qui tourne souvent à l’obsession. Pour y parvenir, plusieurs voies sont exploitables. Il est par exemple possible d’identifier clairement les postes où les économies d’énergie sont envisageables. Ce qui n’est pas forcément d’une évidence limpide dans des bâtiments où les types d’appareils électriques déployés sont multiples, divers et variés : éclairage, équipements informatiques, climatisation, ventilation, etc. On peut également réduire de manière adaptative et automatisée les factures de chauffage à partir d’informations récoltées par un thermostat connecté, de données issues de stations météo et du trafic émanant des smartphones des utilisateurs. Le tout bien évidemment en respectant les exigences de confort des particuliers. A des degrés divers et variés, cinq start-up françaises, dont L’Embarqué a dressé le portrait en 2013, se sont attaquées aux problématiques soulevées par la notion de bâtiment « intelligent » !

- Qivivo. La start-up nantaise a lancé fin 2013 un service auto-adaptatif dénommé Qivivo Thermostat qui pilote à distance et de manière totalement automatisée le chauffage d’un logement résidentiel. Censé réduire les factures de chauffage de 15% par an, le service nécessite la pose chez l’habitant d’un thermostat connecté.

- Netatmo. Avec sa station météo personnelle et connectée lancée en 2012, la jeune société a d’abord apporté sa contribution à un problème sérieux de santé publique : la qualité de l’air intérieur. Au cours du second semestre 2013, Netatmo a ajouté à son offre un thermostat contrôlable à distance par smartphone ou tablette. En ce début 2014, la start-up lance un bracelet connecté qui mesure l’exposition au soleil !

- Valentinéa. Conçu pour répondre aux besoins des maisons individuelles neuves et standards, le système tout-en-un Essensys de Valentinéa, une jeune société adepte de la domotique "raisonnée", centralise la quasi-totalité des fonctions automatiques de base d’un système domotique : allumage/extinction de l’éclairage, ouverture/fermeture des volets roulants, détection de fuites d'eau, gestion du chauffage, de l’alarme, de la sécurité, etc.

- Smart Impulse. Avec le Smart Analyzer, la jeune société française propose une solution qui permet, à partir d’un seul point de mesure et de façon non intrusive, d’identifier de façon simple et à un coût raisonnable la consommation de chaque type d’appareil dans un bâtiment, et ce quelles qu’en soient les dimensions. Objectif : partir à la chasse des surconsommations !

- Dynsal. Avec son module Bluetooth embarqué personnalisable, la société permet de relier à un smartphone n’importe quel équipement ou appareil d’une habitation. Avec un téléphone mobile, il est alors possible de contrôler à distance un très grand nombre de fonctions sans avoir à tenir compte de la marque ou de l'origine du produit piloté.